Retrouvailles sur le quai...

En sortant du train, deux vieux ennemis se rencontrent :

Elisabeth Riddley a écrit:: Eli descendait tranquillement de son wagon. Elle avait passée le voyage en compagnie de filles de deuxième année, un interminable voyage... Le quai n'avait pas changé, Quelle joie de se retrouver de nouveau ici. Elle jetta un coup d'oeil à l'horizon...

Des nouvelles têtes, des têtes connues, tient, Simus....

Elle descendit donc tranquillement les marches, et commença a avancer, elle precuta l'épaule de Simus.

"OH, Excuse moi SINUS, je suis désolée, je t'avais pas vu"

Elle salua les deux jeunes filles d'un signe de tête. Elle detestait ce garçon depuis leur première rencontre, c'étati inexplicable, il l'avait maladroitement fait tombé et tout était parti de la...

Seamus Finnigan a écrit:: Seamus se retourna lorsqu'il fut bousculé. Lui qui attendait tranquillement une calèche. Il s'attendait à ce que ce soit Dean, qu'il n'avait pas rencontré sur le quai, à Londres, parce que les Finnigans étaient arrivés sur le quai presqu'au même moment où le train partait. Il pensait réellement que Dean venait de le bousculer amicalement, mais quand il vit le ravissant mais infernal visage devant lui, il su que cette bousculade n'avait rien d'amicale. Il fourra sa main dans sa poche en un réflexe.

"Zapette! Je m'ennuyais justement pas de toi. Moi qui ai espéré que l'année commence bien..."

Il se tourna vers les deux serdaigles auprès de lui, et leur dit, d'un ton envenimé, mais tout à fait sincère

"Je ne vous la présente pas, c'est mieux pour vous. C'est une vraie chipie"

Il s'en alla un peu plus loin, sachant que la peste le suivait...

(On va continuer ici, pour pas squatter le topic de Tania et Cho plus longtemps… Wink

)

"Oh je t'ai manqué, comme c'est touchant. Et bien je vais te surprendre, mais j'ai pensé à toi cet été. Oui nous somme allés en Afrique pour Y faire un safari e, famille et nous y avons croisé des facochères, c'est étranges comme ces petites bêtes te ressembles."

Elle avait un regard malicieux.

"Ils ont le même regard vide que toi, leur visage e reflete aucune expression, rien du vide..."

Il devenait tout rouge, au fur et à mesure qu'elle parlait, elle aimait le pousser à bout, le voir bafouiller quant il ne savait pas quoi répondre, il fallait être honnete, Poublaor sans Simius ne serait pas le même.

Mais de quoi elle parlait? Seamus n'en revenait pas, comment elle avait le don de toujours être dans ses pattes et l'embêter. Dès leur première rencontre, en en troisième année, elle l'avait bousculé, lui avait crier dessus et était repartie avant même qu'il n'ait pu dire un mot. Il devait être rouge de rage. Ses cousines étaient loin d'être des anges, mais alors là, elles n'arrivaient pas même à la cheville de la pseudo-poufsouffle (Seamus avait toujours maintenu qu'elle avait soudoyé le choixpeau pour ne pas être à serpentard, et il ne comprenait pas ce choix...)

"Je ne me suis pas du tout ennuyé. Je sais que tu n'es pas toujours vite vite mais je pensais que tu savais différencier la négation de l'affirmation...
Il y avait des hyènes aussi j'imagine? Ça devait être difficile de ne pas te retenir d'aller rejoindre tes horribles semblables... Ils n'ont pas le regards vide, mais stupide, ca te conviens parfaitement, non?"

Le jeune homme avait les yeux emplis de colère, comme à chaque fois qu'il finissait par croiser la poufsouffle : sa petite-cousine par alliance, qui plus est. Mais elle ne le savait pas, Seamus l'avait découvert seulement cet été, en parlant avec sa mère.

Le garçon avait un fond gentil, le voir essayer de s'énerver était assez hilarant.

Vas y tu peux faire mieux, l'encouragea-t-elle ironiquement.

Les yeux de Seamus étaient remplis de colère, son visage était d'un rouge écarlate. Elisabeth souriait intérieurement, que faire d'autre... Elle continua néanmoins de le fixer. Elle n'était même pas affectée des paroles du ptit Gryff, cela ne rimait à rien, il ne savait que rebondir sur ces paroles

"Décidément ton imagination est semblable à celle d'un gamin de 10 ans, essayes encore, je suis sur que tu va y arriver..."

D'autres élèves passant par la les regardaient étrangement. Des élèves de première année s'étaient arrêtés pour les écouter. Elle leur jeta un regard noir et leur fit signe de partir.

Décidément, Seamus n'aurait pas pu souhaiter pire. Pourquoi ça n'arrivait qu'à lui? En plus, sa mère lui avait aussi appris que Zapette avait des soeurs cadettes. Seamus priait pour qu'elles ne viennent pas à Poudlard. Il décida tout de même de changer de point d'attaque, se disant que les insultes sur l'apparence ne pouvaient pas toucher Elisabeth. Mais il devait l'avouer, il n'était pas bon pour insulter, parce que LUI, ce n'était pas un de ses passe-temps.

J'aurais dû savoir que ce n'est pas en te disant que tu es laide que je t'insulterais... et pour celà, je tiens à te féliciter, je n'ai jamais vu qui que se soit vivre aussi bien avec sa mocheté.

Au fait, tes soeurs te ressemblent ou elles ne sont pas tombées dans une potion de ratatinage à la naissance? À moins que ce soit un de tes parents qui soit un troll, ça expliquerait à la fois ton aspect et ton intelligence

Il ne faisait pas attention aux élèves qui passaient. Il était très proche de Zapette et se criait à tue-tête. Jamais il n'avait été aussi en colère. Jamais il n'aurait eu le goût de faire disparaître quelqu'un autant que cette serpentard.

Même lorsqu'il attaquait, cela ne la touchait pas autant qu'elle l'aurait cru, elle le méprisait tellement. Néanmoins il s'en prenait à sa famille, et s'était pire que de s'en prendre à elle, il s'en mordrait les doigts, mai spas tout de suite...
Eli était une sang pure, mais comprenait totalement que des enfants de méles ou de moldus soient élèves à Poudlard. Mais elle ne comprenait pas pourquoi les sorciers avait quelque fois honte de leur sort. En effet, elle avait appris que la mère de Seamus avait attendu d'être marier pour annoncer à son mari qui elle était réellement.

"Tu t'en prends à ma famille lorsque la tienne assumera ce qu'elle est, attendre d'être marier pour annoncer à son époux que l'on est une sorcière, c'est prendre un homme en otage, je trouve ça pathétique."

Comme si il n'avait jamais entendu celà auparavant. Bien sûr que sa mère avait attendu, mais ses parents s'aimaient réellement. Il en avait assez d'une petite peste de serpy qui n'avait rien de mieux à faire qu'embêter les beaux gosses... Cool

Il croisa les bras, reculant un peu. Il était devenu très calme et taciturne.

"Tu devrais te laver les dents, parfois, en passant. Pour ce qui est de ma mère, tu sais très bien que c'était pour ne pas que mon père le répète. Il y a des promesses qui sont plus fortes que la magie parfois. Le mariage est une de celles-là. C'est pour celà que les sorciers doivent TOUS attendre d'être mariés avant d'annoncer à leur conjoint qu'ils sont sorciers. Mais peut-être que tes parents n'ont pas eu le temps de t'apprendre cela. Les miens si."

Lavande passa un peuplus loin, et Seamus la salua avec un geste de la main et clin d'oeil, puis il reporta son attention à Zapette qui était rouge. Il espérait seulement qu'elle ne pleurerait pas... c'était la seule chose qu'il ne pouvait pas supporter.

La colère montait en elle, elle lui aurait bien sauté à la gorge pour l'étrangler. Ils s'épuisaient souvent dans des espèces de joutes verbales qui ne mènent à rien de bon. Tous deux sortaient moralement épuisés de ces discutions, non que cela la touchait réellement, mais ça la faisait souvent réfléchir à de nombreuses questions soulevaient lors de ses entretiens.

"Ecoute Sinus, mes parents travaillent, ils sont tous les deux sorciers et ce sont rencontrés à l'école, je ne vois pas en quoi ce thème aurait du être aborder chez nous. Quant au mariage, si tu penses que c'est un sermon qui ne peut être rompu laisse moi rire et grandit un peu minus, la vie n'est pas toute rose..."

Elle ne savait pas si ces parents s'aimaient toujours, s'étaient-il seulement vraiment aimer un jour. Elle n'avait jamais connu de vacances en famille, de Noël au coin du feu, avec des parents heureux d'être-la. Son enfance se résumait en mauvais coups, punitions et solitude. Seules ses soeurs l'avaient aidé à s'en sortir. C'est aussi pour cela qu'elle le détestait, sa famille unie, sa petite amie.. Mais elle ne le lui dirait jamais, ce serait avouer ses faiblesses.

Bon. Encore une fois, Zapette se pensait plus mature qu'elle l'était réellement, croyait détenir la vérité ET n'était en fait qu'une enfant gâtée de 12 ans. Il fit une moue à ses paroles. Il vait aucune idée où cette chicane pourrait le mener. Il soupira et recroisa les bras. Il était toujours exténuant de rencontrer Zapette. Elle demandait beaucoup d'énergie, à la fois pour réagir et pour ne pas se pendre de désespoir qu'il existe encore des gens comme elle. Il sourit ironiquement en répondant à la peste.

"Ah! Tu crois que je ne sais pas que c'est pas toujours rose? J'ai un oncle alcoolique, avec tout ce qui vient avec... Mais il aime quand même sa famille. Il fait plein de trucs pour arrêter de boire, juste pour eux.
Pour ce qui est du mariage, tu devrais au moins savoir que l'on doit prêter serment de garder le secret... À moins que ce soient des considérations inférieures à votre niveau de sang? Sache que je n'ai pas honte du tout de mes origines. Ce devrait être pareil pour toi, tu n'es même pas réellement une lamentable serpy! Et si tes parents ont été absents, je suis désolé, sincèrement, mais ce n'est pas mon problème."

Seamus en avait dit plus qu'il ne voulait. Il avait les yeux plaquées rouges. Il détestait qu'on le prenne pour un imbécile heureux. Il savait très bien que la vie était souvent injuste, mais il avait pris la décision d'être optimiste, quoi qu'il arrive. Il s'en voulait un peu, il avait cru percevoir dans le regard d'Élisabeth qu'il l'avait vraiment blessée. Il rougit un peu plus à cette idée. Il la détestait, mais ne voulait pas réellement lui faire de mal, aussi étrangement que celà puisse paraître...
Il ferma les yeux, tentant de se calmer. Il ne s'excuserait pas. Sauf si c'était nécessaire. Il ne voulait pas qu'elle gagne, surtout que, point de vue "arguments" il avait gagné...

Elle ne pue se retenir de le gifler, franchement, là, il dépassait les bornes. Elle ne rajouta rien à ses paroles. La colère était retombée avec la gifle, elle était impulsive, il le savait, il jouait avec le feu et avait été brûlé.

Son visage exprimait son contentement, après tout, il s'était calmé lui aussi
"Ecoute Sinus, tu ne parles pas de ma famille et tout ira bien, quant à ton oncle alcoolique, c'est bien le cadet de mes soucis. Si tu as besoin d'en parler, va donc voir un de ses moldus qui se fait payer pour écouter les gens gaindre sur leur propre sort."

Elle ramassa une petite sacoche q'elle avait toujours avec elle, la passa autour de son coup, et partit. Bien sur, elle pris un malin plaisir à marcher sur un sac que Seamus avait posé par terre à ses cotés.

"Oh! Excuse- moi je n'avais pas vu... " dit-elle sans même se retourner.

Seamus était ébahi. Non pas à cause du léger pincement de la gifle, car il était habitué : avec Zapette, ça ne pouvait se terminer autrement. Il était ébahi parce que cette Zapette, pour qui il eu une once de pitié (déjà deux de trop), était non seulement une peste mais aussi une cruche, probablement vide qui plus est. Elle ne comprenait jamais rien!! Parvati était parfois bête, mais là ce n'était même pas comparable.

"Si t'a pas compris que c'était un exemple pour te montrer que tout le monde sait que tout est pas rose, t'es plus désespérante que je pensais... Et c'est toi qui aurait besoin d'un psychiopathe!"

Malgré ses origines moldues, Seamus avait souvent de la difficulté avec certains termes moldus. Psychiatre en était un bon exemple... Comme Seamus s'apprêtait à reprendre son sac, Zapette pila dessus. Il ne dit rien, mit son sac sur son dos, sortit sa main de sa poche, tenant sa baguette. Lorsque Zapette fut un peu plus loin, Seamus visa sa sacoche et lança un sort.

"Cracbadaboum"

La sacoche se déchira, laissant tomber son contenu. Un ensemble de maquillage se brisa par terre, de nombreux papiers s'envolèrent et même une bombabouze explosa sur le sol.

*Nom d'un troll des marais, qu'est-ce qu'elle fait avec ça?*

*Oh le chameau ! * pensa-t-elle.
Elle avait fait quelques réserves pendant les vacances et n'aillant pas encore eu accès aux dortoirs, elle n'avait pas pu les cacher. Par chance, il n'y avait aucun professeur sur le quai à ce moment la. De toute façon, s’il y en avait eu un, il les aurait séparé depuis longtemps tellement leurs voies portaient dans tout le hall de gare.
Lorsque la bombabouse explosa sur le sol, une odeur nauséabonde envahit une bonne partie de la gare.
Eli était furieuse, elle sortit sa baguette, la pointa vers Seamus, elle réfléchit quelques instant,

"accio baguette" cria-t-elle dans la direction de Seamus qui vit sa baguette s'envoler. Le jeune homme ne s'attendait pas à ca et semblait plus que surpris.

La seule chose qu'elle espérait à ce moment précis était de ne voir arriver aucun professeurs, tous les deux auraient été en tort, pas d'excuse possible.

Seamus était surpris, il ne s'attendait pas à ce qu'une bombabouze explose sur le quai. Il s'attendait encore moins que Zapette connaisse le sortilège d'attraction, qui n'était au programme qu'en quatrième année. Or, Zapette commençait ce niveau dans la semaine qui suivait. Sous le choc, Seamus ne réagit pas immédiatement, mais il finit par se précipiter sur sa baguette, qu'il serra de ses deux mains. Il réussit à s'opposer assez fortement pour briser le sortilège de sa meilleure ennemie (la force de la volonté... Wink

) Avant qu'un professeur n'arrive, il nargua la petite fillette.

Un sort de désarmement aurait été plus efficace, tu sais...

Puis, avant qu'un professeur n'arrive, il courut rejoindre Lavande, Parvati et Dean qui montaient déjà dans une calèche, tannés de l'attendre. De toute façon, s'il restait plus longtemps, il devrait marcher jusqu'au château... Très peu agréable! Il fermit la porte derrière lui en grimaçant Zapette, puis discuta avec ses amis.

Il avait encore une fois fuit, du moins c'est ce que pensait Eli. Elle se retrouvait donc encore une fois seule, pensant à cette nouvelle année qui débutait. Si son année à Poudlard était aussi merveilleuse que cette première rencontre, cela ne laissait rien présager de bon.
Elle se mit donc à rechercher une calèche dans laquelle elle pourrait prendre place. La plupart d'entre elles étaient déjà parties.
Elle en trouva une rapidement, il n'y avait à son bord que deux élèves de serdaigle de 3ieme ou 4ieme année.
Elle s'assit, prit un livre, se calla dans son siège et attendit que la calèche parte...

» sur le quai....
» arrive sur le quai...
» descend sur le quai...